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Santé de la procréation :des millions de personnes dans le monde confrontées à une infertilité les empêchant d’avoir des enfants alerte l’OMS

Confidentiel

Le phénomène de la stérilité , a longtemps constitué un problème de santé publique.De nos jours, plusieurs facteurs liés au mode de vie et à l’alimentation entre autres, contribuent à perturber la santé de la procréation.Les taux de prévalence qui franchissent 15% , dans plusieurs parties du monde, amènent l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à tirer la sonnette d’alerte.

 Le Directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’inquiète de la tendance croissante de l’infertilité. Dans un rapport paru en 2023,il fait savoir qu’une personne sur six (1 / 6 )dans le monde est touchée par l’incapacité d’avoir un enfant à un moment ou à un autre de la vie. Et ce, quels que soient leur lieu de vie et les ressources dont elles disposent. Il s’agit, selon l’OMS, d’un véritable « problème sanitaire majeur », qui touche 17,8 % de la population adulte des pays riches et 16,5 % des pays à revenus faibles et intermédiaires.. Ce rapport, le premier du genre depuis dix ans, est révélateur d’un fait important ,l’infertilité ne fait pas de discriminations  déclare le Dr Tedros. Le rapport de l’OMS ne se penche pas sur les causes médicales, environnementales ou autres de l’infertilité, ni sur son évolution au fil du temps mais donne un premier aperçu de sa prévalence, en analysant l’ensemble des études pertinentes de 1990 à 2021.

L’infertilité touche une grande partie de la population mondiale , précise-t-on, puisque la question concerne environ 17,5 % de la population adulte. Ce sont des millions de personnes qui sont affectées par cette pathologie. Le Directeur général de l’OMS affirme que le  sujet est encore peu étudié et les solutions restent insuffisamment financées et sont inaccessibles pour beaucoup en raison des coûts élevés, de la stigmatisation sociale et de la disponibilité limitée .Il s’agit donc d’un problème de santé publique d’actualité qui nécessite des solutions plus fortes. Après avoir tiré la sonnette d’alarme, il appartient à l’OMS de mettre en branle les moyens nécessaires pour le traitement adéquat de cette affection.

Laborpresse.net       Mercredi 05 avril 2023

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