Le financement du Projet de mobilité urbaine du Grand-Ouaga (PMUGO) commence à s’élaborer. Son coût global est de soixante-quatre milliards cent quarante-trois millions cent six mille huit cent trente-huit (64 143 106 838) francs CFA. Le projet vise la fluidité de la circulation à Ouagadougou et la lutte contre les changements climatiques, à travers le transport en commun..Ici car de la Société de Transport en Commun de Ouagadougou(SOTRACO)

Projet de Mobilité Urbaine du Grand Ouaga (PMUGO) : 34 nouveaux bus en perspective à Ouagadougou pour la SOTRACO

Brève

La ville de Ouagadougou et ses banlieues disposeront bientôt de bus de transport  en commun complémentaires .Au total, une commande de 34 bus de la société Scania West AFRICA devront être livrés dans l’intervalle de 12 mois. Des bus pour la Société de Transport en Commun de Ouagadougou (SOTRACO).

Une signature de convention a eu lieu le 7 juillet 2023 entre la commune de Ouagadougou et la société Scania West-Africa, concessionnaire de bus. L’hôtel de ville de Ouagadougou a servi de cadre à cette signature de convention. Selon les précisions de la Direction de la communication de la commune de Ouagadougou, dans le cadre du Projet de Mobilité  Urbaine du Grand Ouaga (PMUGO), il a été confié à la société Scania West Africa Ltd , la fourniture de véhicules, produits associés, services connexes et prestation au profit de la SOTRACO. Cette signature de convention  permettra à la commune de Ouagadougou,  d’acquérir trente-quatre (34) autobus de 13 mètres et d’une camionnette de service ; la formation de 90 techniciens de la SOTRACO au Ghana ; la livraison de pièces de rechange et d’outils d’équipement ; une visite d’inspection à Rio de Janeiro au Brésil, lieu de production des autobus et un service après-vente. Le cout du projet s’élève à 6 875 473 001 FCFA et le délai de livraison des bus est fixé à douze (12) mois.

  Le transport en commun peut connaitre un essor si le parc des bus est étoffé avec des trajectoires dans plusieurs quartiers et rues de Ouagadougou.  Sinon s’il faut continuer de marcher sur plusieurs kilomètres avant d’accéder à un arrêt de bus, cela démotive la clientèle qui veut aller vite et bien d’un point à un autre de la ville , sans être obligé d’attendre des heures l’arrivée des bus.

Bérenger Traoré

Laborpresse.net      Jeudi   13 Juillet  2023

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One comment

  1. 34 bus c’est peu. Ça se voit qu’on veut continuer à promouvoir l’utilisation des engins à deux roues qui sont en train de créer l’anarchie dans la capitale alors qu’on devrait suivre l’exemple de nos voisins.
    Mais comme début c’est déjà une bonne initiative…

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