Du sucre en carreaux

Prix des produits de grande consommation au Burkina :une stabilité remarquable dans la baisse des prix !

Confidentiel

  Depuis le régime du gouvernement de la transition en 2015,des mesures fermes ont été prises contre la flambée anarchique des prix des produits de grande consommation.Le ministère du commerce a maintenu le cap du contrôle rigoureux des prix homologués jusqu’à nos jours en 2018.Ainsi,s’observe une stabilité des prix de certaines denrées comme le litre d’huile(entre 700 et 750 FCFA),le kilogramme de sucre en poudre à 500 ou 550 FCFA.Or,en 2008,sous le régime de l’ex-président Blaise Compaoré,des gens semblaient avoir inventé le concept de vie  chère ,avec une avalanche de surenchère des prix de produits de première nécessité.Le litre d’huile coûtait entre 900 et 1000 FCFA,le sucre entre 650 et 800 FCFA.A l’époque,certains commerçants sincères ,n’hésitaient pas à faire des confidences ,que des hommes politiques qui disaient le jour de baisser les prix,donnaient nuitamment des consignes pour que les marchands  les augmentent .Cela démontrait qu’il y avait des mains politiques cachées dernières la flambée des prix ,avec comme objectif de mettre en difficulté le régime de l’ex-président Compaoré.A présent,l’ère des pyromanes politiques semble révolu au Burkina et on assiste progressivement à une normalisation des échanges commerciaux et de la pacification des actions politiques.La confiance n’excluant pas le contrôle,les contrôles inopinés du ministère du commerce ,ont aussi un impact sur la stabilité des prix ,à cause des amendes infligées aux commerçants qui ne respecteraient pas les prix officiels.Il s’agit là, d’une preuve que le régime du président Roch Marc Christian Kaboré ,peut parvenir à restaurer graduellement l‘autorité de l’Etat dans l’intérêt général.Il ne s’agit pour lui ,d’agir en dictateur ,comme le préconisent certains opposants ,qui accusent le Chef de l’Etat d’être trop passif.Car,ce seront les mêmes opposants  ondoyants ,qui diront après ,que la démocratie à cédé la place à la dictature.Il faut tout simplement savoir manier le bâton et la carotte quand et où il le faut ,pour une justice équitable pour tous ,dans le respect des droits et devoirs individuels et collectifs.

Laborpresse.net       1er  Mai 2018

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